Je l’ai senti
Le doux bruissement
Du vent qui s’abat
Sur les contrées lointaines
Il poursuit
Ses douces aventures
Jusqu’à l’oraison prochaine
Celle qui transcende les esprits
Tu l’as senti
Le doux bruissement
Du vent qui s’abat
Sur les contrées lointaines
Tu l’as senti
Bien au-delà du réel
Tout au fond
De ton nid de pierre
Je l’ai senti
Comme j’ai senti
La douce effluve
De ton parfum
Murmurant une dernière fois
L’amour dont tu me comblais de tes soins
Je l’ai senti
Les sentiments resteront les mêmes
Loin derrière la perte
L’étincelle perpétuelle
L’amour éternel
Le doux bruissement
Du vent qui s’abat
Sur les contrées lointaines
Il poursuit
Ses douces aventures
Jusqu’à l’oraison prochaine
Celle qui transcende les esprits
Je l’ai senti
Et tu l’as senti aussi
Par-delà le lierre couvert de lys
Nous l’avons senti.
150