Vous refusez de renoncer alors que la liberté et votre réveil se trouvent peut-être derrière ces barrières métalliques. Vous vous accrochez à toutes les extrémités qui vous tombent sous la main, ignorant les piques qui déchirent votre peau, les visages de gargouille qui vous mordent les doigts pour vous faire tomber.

Vous compensez toutes ces difficultés par une solidarité sans faille entre vous quatre. Chacun aidant l’autre à son niveau, selon ses possibilités. Vous montez de deux nouveaux étages, mais la fin de votre escalade est encore loin.

Alex suggère alors de laisser de côté les sculptures démoniaques pour ne se concentrer que sur les piques barbelées. Leurs épines sont suffisamment espacées pour y apposer les doigts sans se blesser, pour peu qu’on y fasse très attention. Au moins, elles ne bougent pas et seront plus sûres pour grimper.

À l’inverse, Jen pense qu’il vaut mieux mettre des coups de latte aux démons et que voir leurs congénères se faire baffer va calmer les autres et simplifier la suite des opérations.

Qui souhaitez-vous écouter ? Jen (rendez-vous au 162) ou Alex (rendez-vous au 163) ?

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