A IIHOO ; service ; Clint alias Lente-Claire-La-Joueuse, les joues grisâtres & creuses, mais maquillé & perruque blonde, inspecte sa commande ; fraises au foie gras.
– Vous avez bien fait comme je vous l’ai conseillé ? demande Clint.
– Oui Monsieur ; nous avons poêlé -légèrement- le foie gras en fines lamelles en forme de fraise, que nous avons déposé sur les fraises coupées en deux.
– Parfait, je vous remercie.
– Vous faut-il autre chose ?
– Une coupe de champagne.
– Cela ira très bien avec votre recette monsieur.
– Je vous remercie.
Coupe de champagne & clef de menottes dissimulée dans une fraise au foie gras plus tard.
Le condamné se retrouve devant le curée le plus proche & confession ;
« Je la sens, sous mes poings, que je laisse tomber sur son crâne ensanglanté. Elle ne peux plus pleurer. Ni crier, ni quoi que ce soit. Dans sa tête il n’y a plus rien. Juste son cerveau inerte, qui cogne et cogne. Je lui ai cassé les deux jambes. Je lui ai cassé toutes les dents ; pour ne pas railler les moindres choses que je lui enfonce dans la bouche. Dans une ruelle, je déchire ses vêtements, la met nue sur les sols dégueulasses de la ville. J’arrache. Prends plaisir à tout ça. Je m’enfonce dans sa bouche. Va & viens dans du sang. Ne voulant pas gâcher mon éjaculation dans ce trou là, j’en passe à un autre, je m’enfonce, elle tente d’hurler mais mes coups le lui en empêche & des coups & des coups & des coups dans son ancien beau visage, j’enfonce plus profondément lui tire les jambes jusqu’à ce qu’elles n’en peuvent plus & je m’enfonce & je m’enfonce & je m’enfonce, je lui mords les seins jusqu’aux sang, allant à en retirer des morceaux, que je recrache dans sa bouche, je lui sers le cou & décide de finir dans son trou du cul, je la retourne face contre terre, prends ses cheveux dans la main & les tire, je la sodomise elle ne peux pas pleuré, je tends encore ses jambes elle n’a plus mal elle ne ressent plus rien. Je la sodomise encore & encore & encore & encore & encore ! J’éjacule enfin ! dans son pti’ trou du cul. Je me rhabille. Je suis rentré chez-moi & je me suis endormi. »
– Je vous conseille de vous dénoncer mon fils… ricane le curée.
– Mon père ; elle est bien bonne celle-ci !
– Je la fais à chaque fois. Au revoir mon fils.
– Au revoir mon père.
Clint encore -pour l’instant- menotté & vêtu en orange. Traversant le couloir de la mort, avec à ses côté l’Inspecteur Drew qui roucoule & 3 gardiens ainsi que le directeur de la prison.
– Alors mon petit Clint ? Tu t’es faite belle pour l’occasion ? rit Drew.
– Le contraire aurait fait quelque peu négligé ; vous ne pensez pas ?
– La seule chose à quoi je pense ; c’est lorsqu’on va te retirer ce machin pour le remplacer par une éponge.
Le dirlo s’arrête.
– Il y a mégarde -je le crains. Pas de chaise-électrique ici ; juste une dose douce & létale qui t’étale… chantonne le Directeur en cloche-pieds. Ô ; la belle preuve d’humanité de notre système carcérale-judiciaire !
Drew regarde ledit billet ; bout de carton. Il le regarde à la lumière, rien ; il pleure.
– Merde ! on m’a vendu un faux billet !
Clint tousse -mains devant la bouche ; l’élégance ! & retire sa perruque -cachant ses mains.
– Mais continuons, dit le directeur. Nous allons être en retard.
– Un moment -je vous prie ; je reforme ma perruque.
– Bien entendu. Cela donnera de la beauté aux gestes.
Manipulations, puis Clint tend sa perruque à un gardien ; qu’il la mette bien.
Le moment ; le gardien prend la perruque & va pour la poser. En mains libres, Clint agrippe l’arme du gardien & le braque.
– Que personne ne bouge & tout le monde face au mur !
– Oh Mon Dieu ! Écoutez-le ! gueule le dirlo ; premier face au mur & filet d’urine longeant sa jambe droite.
Les gardiens exécutent les ordres ; reste Drew.
– Toi aussi Drew ahah ! fait Clint.
– Tu ne vas pas sortir vivant d’ici.
– Peut-être, mais la même chose pourrais t’arriver si tu ne te place pas face au mur !
Tout le beau monde face au mur.
– Les gardiens -& toi aussi Drew- ; vos armes. Vous allez les poser au sol & les faire glisser avec votre pied droit.
Ils le font, Clint les récupère & profite pour se déchainer les pieds.
– Maintenant ; le dirlo, viens.
Clint lle fait bouclier pour la suite.
– Les gardiens ; formez un triangle.
Ils le font.
– Sortez vos tasers & braquez celui à votre droite.
Ils comprennent.
– A trois ; vous tasez votre collègue. Sinon une balle pour le dirlo & chacun d’entre vous. I, 2, 3 !
« Pzzzzz » au sol les trois.
– Ahah ! fait Clint en foutant un coup de cross au dirlo ; au sol.
Drew -toujours- face au mur.
– Enculé de première !
Clint s’approche de Drew, jusqu’à son dos ; l’arme en phallus entre les fesses de Drew.
– Alors mon petit Drew ? Je prends l’occasion pour me faire la belle.
Coup de cross ; Drew au sol.

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