Et enfin, arriva cette nuit. Cette nuit ultime. À moins que ce soit une aube. Je ne sais plus si nous étions au milieu de la nuit ou au lever du jour. C’est son odeur qui m’a sortie de ma torpeur. Puissante, prégnante. Tout l’air en était empli. Des volutes rouges gonflaient l’atmosphère, le rendaient pesant, irrespirable. Le parfum me tirait d’un sommeil lourd, appesanti par un ...