Mes affaires étaient emballées, le capitaine avait veillé à ce qu’on empaquette rapidement mes effets. Il ne restait plus rien de mon passage dans la petite chambre que j’avais occupée. Nous repartions le surlendemain, afin de laisser le temps à la vieille Sara de se reposer avant de reprendre la route. Dès lors, aucune excuse, aucune justification ne permettraient de retarder mon dépa ...