Chaque vie, Chaque destin dépend de ce que nous sommes.
Si nous n’étions pas là la vie ne serait que poussière et cendre.
Mais, il y a ces étoiles. C’est à dire moi et mes soeurs, ces petites rescapées
des poussières. Cette vie c’est la mienne, Je suis Julie une des princesses des anges
L’autre c’est ma soeur, Mérida
– Julie, je te dérange
– Non, pourquoi donc ?
– J’ai trouvé quelqu’un….dit-elle en hoquetant
– Qui-est-ce le vendeur d’eau bénite ? Ce n’est pas le garde?
– Non … Il se trouve que c’est un …. Humain !
– Mérida !! Je t’ai déjà dit. Aucune relation avec les humains !!
– Oui… Mais Je l’aime !
– Écoute Mérida.. Tout n’est pas aussi facile, si il suffisait de dire  » je l’aime » et tout serait réglé, imagine ! Et désolée ! ….dis-je en partant.
Je partis en fermant la porte. J’entendais des cris étouffés et des pleurs  » Non ! Je t’en prie ! »
Mais ça ne suffisait pas, je ne pouvais pas laissé ma soeur enfreindre les règles !
Quand, J’arrivai dans le magnifique pavillon de l’humain j’ai pensé à mes soeur celle qui n’ont jamais hésiter à m’aider, sans suite de ma part. À ce moment là, je ne pensai plus a mettre fin à la vie de cet homme. Au contraire, je me disais que j’allai le rencontré. J’avoue que ce ne serai pas exemplaire. Appuyant sur la sonnette, pensant encore à ma soeur celle, que je n’ai plus vu depuis des années. Seule Mérida la rencontré quelque fois, je trouvai même quelles étaient un peu trop proche. La porte s’ouvrit et vit un jeune homme beau , à l’air brave je me sentit un peu tremblante
– Bonjour…euh… Je suis la nouvelle voisine
– Enchanté entrez un café ? Un thé ?
– Un verre d’eau
– Comme ça vous êtes la nouvelle voisine ? Mais je n’est…
– Oui j’habite dans la maison d’en face là- bas
Ainsi continuerons nos discussion assez insignifiante. Disons.. Que ce n’étais ce a quoi je m’attendais. En entrant au septième ciel, je ne voyais pas Mérida juste avant d’ouvrir la porte de sa chambre voyant ma soeur en sanglot avec cette Rosalia mon autre soeur.
– Mais il est mort ! Dit elle en pleurs
– Je vois ce que tu lui a fait n’est-ce-pas Julie ou plutôt Julia ! Dit Rosalia
– Part vite ! Aller vas-y avant que je te signale !
– Julie ne lui fait rien à elle ! C’est notre soeur ! Dit elle en hoquetant
Elle finis par partir.
– Écoute… Dis je
– Non ! Pourquoi dois je t’écouté ?

108