— Magister ? Il me regardait, étonné. Je lui souris, comme jamais je ne l’avais fait. — Magister, est-ce que tout va vraiment bien ? — Oui capitaine. Tout va très bien. Les sursauts de l’Apologius me firent remettre un pied dans cette réalité. Sonné et rempli d’une volonté nouvelle, je retournais à l’arrière de l’appareil. À terre, D’Artemont somnolait encore. Oui ...