Il jeta un coup d’œil – en vain – à son cellulaire. Quand avait-il envoyé le premier message ; il y avait de cela une demi-heure, trois quart d’heures ? Il s’était en tout cas empressé de le faire après avoir choisi sa place (au septième rang, rangée de droite) et s’y être installé. Depuis, trois autres texti s’étaient suivis et tapoter machinalement ses doigts sur l’ac ...