Premier cour d’informatique, les gosses se ruent comme des affamés sur les machines, il y en une pour deux, et ce n’est qu’un début. Ils crient comme des possédés, un boucan à réveiller les morts, ils ouvrent des yeux grands comme des assiettes, emplis d’émerveillement. Tu les observe et souris, excités comme des puces ils ne t’ont pas encore vue. La mère supérieure les laisse ...