2030. Royaume-Uni. Une jeune femme du nom de Coally Alkan cherche à gagner les contrées du Nord depuis de nombreux mois. C'est là qu'était son petit frère quand c'est arrivé. Les villes qu'elle traverse sont mortes. Les régions qu'elle sillonne sont désertes. L'Europe centrale est baignée dans un climat quasi-polaire. Presque tous ont fuit vers le sud de la France, l'Espagne, l'Italie et la Grèce où les récoltes sont bien plus propices. Faisant chemin inverse, Azaly se dirige en solitaire et à pied vers des zones arides et abandonnées de toute civilisation. La voilà désormais au centre de l'Angleterre. Alors qu'elle pensait le chemin encore long, elle va pénétrer dans une cité pas comme les autres qui va compromettre ses plans.
En 1972, une équipe de quatre chercheurs du prestigieux Massachusetts Institute of Technology ( MIT ) a rendu public un rapport sur les Limites à la croissance commandé par le Club de Rome, une organisation de prospective planétaire. Le modèle du monde était basé sur 5 paramètres : la population, les réserves des ressources non renouvelables, la production industrielle, la production alimentaire, la dégradation de l’environnement. Leurs auteurs, suivant leurs calculs mathématiques, conclurent à une crise en 2027-2028. Les trente dernières années n’ont fait que confirmer les ...
Anthropocène de Jerrykan Alkan est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Utilisation commercial interdite - Modification interdite. Partage autorisé.
9 commentaires Ajouter le votre
C’est tout à fait ça, du post-apo ! Merci d’avoir lu et commenté ! 🙂
Du post-apo ! Cool !
Un bon premier chapitre. J’ai hâte de connaître la suite 😉
Salut, et d’abord merci ! Oui c’est pas très cool de sa part, mais disons que la fin ( la faim ) justifie les moyens. Et puis elle lui en laisse la moitié quand même 🙂 J’essaye de mettre la suite au plus vite, encore merci !
Salut, Tu amorces le chapitre avec une confrontation ce qui nous permet de très vite faire la connaissance de ton héroine. Elle est pas cool de braquer un vieillard dis – donc. Pour le reste j’ai rien repérer de bizarre pour les verbes terne, les répétitions… En même temps le chapitre est court. J’ai hâte d’en apprendre plus sur le contexte et sur la cité de Blackburn.
à bientôt